Looser ambulant, Roman Stern se voit contraint -par on ne sait quel magnétisme de la confidence- d’écouter les lamentations de tous ceux qu’il croise sur son chemin. Jusqu’au jour où un caniche blanc entre dans sa vie avec une fortune plus qu’appréciable. On s’intéresse dans ce livre, plus au style qu’à l’histoire. Mais la dernière page tournée, vous saurez apprécier votre onglet à l’échalote chaud.
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