Quelle n’est pas la surprise de Tim (Domhnall Gleeson) lorsque son père (Bill Nighy) lui apprend, le jour de ses 21 ans, qu’il a la capacité de voyager dans le temps ! Certes pas pour changer le cours de l’histoire mais au moins pour interférer sur le déroulement de sa vie. Après un malencontreux voyage dans le passé, celui-ci croit perdre Mary (Rachel McAdams), la jeune femme qu’il vient de rencontrer et qu’il considère déjà comme son âme sœur… Qu’à cela ne tienne, Tim compte bien coûte que coûte recréer les circonstances qui ont un jour lié leur destin…
Qui n’a jamais rêvé de pouvoir revenir sur son passé pour gommer certaines erreurs ? Après Love Actually (2003) et Good Morning England (2009), le réalisateur Richard Curtis revient pour notre plus grand plaisir avec Il était Temps, subtil mélange de romance et de science-fiction. Ici point d’effets spéciaux mais des sentiments à l’état pur, qui nous invitent à réfléchir sur certaines des priorités que nous nous fixons dans la vie.
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