Cinéma, Musique, Mode… Voici maintenant les bouquins préférés de la rédaction en 2011.
Audrey : Le livre qui m’a plu cette année, c’est Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol. Parce que j’avais déjà aimé les deux premières parties et parce que le livre reste « simple ». Pas de grandes histoires, pas de grandes théories, juste des gens (différents) qui affrontent la vie avec plus ou moins de facilité, et ça fait du bien. Et mon second coup de cœur c’est Summer in the City de Candace Bushnell qui décrit la vie de Carrie Bradshaw, la grande spécialiste des relations hommes-femmes, alors qu’elle était étudiante et encore… vierge ! Un livre lu en quelques heures, idéal pour les fans de Sex and the City !
Laurence : Dans la nuit, la liberté nous écoute, une BD de Maximilien Leroy. En 1943, Albert a 16 ans. Ulcéré par l’occupation de son pays, il épouse les idéaux communistes. Trois ans plus tard, la France est libre et il s’engage dans l’armée, pour voyager et sortir de sa misère sociale. Dépêché en Indochine « pour combattre les terroristes du Viêt-minh », il ne tarde guère à frayer avec les indigènes, en dépit des consignes de l’état-major. Les exactions commises par ses camarades au nom de la liberté le dégoûtant un peu plus chaque jour, Albert comprend alors qu’être libre, c’est aussi faire des choix, parfois radicaux ! Un récit superbe et tout en nuances de gris conçu et mis en images par Maximilien Le Roy.
Patchouli : Tu mourras moins bête, de Marion Montaigne
Nicolas : J’ai toujours eu une attirance perverse pour les bouquins qui pèsent plus de trois kilos. Donc, vous vous en doutez, mes coups de cœur ne concernent pas des livres de poche. J’aime l’objet autant que son contenu. J’ai trouvé par un hasard un livre dénommé Superheroes : Fashion and Fantasy.
C’est le catalogue d’une exposition qui a eu lieu au Metropolitan Museum of Art de New-York, à propos de la mode inspirée par les superhéros des Comics. Le sujet est amusant et inédit, avec des images colorées imprimées sur papier plastifié. Et la couverture en métal façon jouet des sixities rajoute au charme. J’ai également flashé sur Affiches de l’Automobile, par Emmanuel Lopez, un grand format qui permet de profiter à fond des styles variés (avec une préférence pour l’Art Déco) des affiches publicitaires automobile jusqu’aux années 1950.
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