Il y a dix ans, jour pour jour, George Harrison, le Beatle tranquille, s’éteignait des suites d’un cancer de l’oesophage. Il avait 58 ans.
George Harrison a dit un jour : « As far as I’m concerned, there won’t be a Beatles reunion as long as John Lennon remains dead ». [En ce qui me concerne, il n’y aura pas de reformation des Beatles tant que John Lennon sera mort]. Dix ans après son propre décès, même si les Beatles ont encore moins de chance de revenir sur le devant de la scène, on conviendra que l’emblématique groupe de Liverpool n’est pas prêt de tomber dans l’oubli, son apport à la musique étant toujours reconnu comme considérable.
George Harrison, qui était le plus jeune des Beatles et à qui l’on doit les somptueux Something, Here comes the sun ou encore While my guitar gently weeps, a su rebondir en solo après la séparation des quatre garçons dans le vent en 1970. De son premier album solo All things must pass qui connu un énorme succès à son album posthume Brainswashed en 2002, en passant par le premier concert caritatif de l’histoire du Rock, organisé pour le Bangladesh en 1971 et à ses diverses collaborations tant musicales que cinématographiques (il a notamment produit La vie de Brian, des Monthy Python), George Harrison aura marqué plusieurs décennies de sa musique, de sa créativité et surtout de son talent…
Retour sur quelques tubes de sa carrière :
Something (1969) :
My Sweet Lord (lors du concert pour le Bangladesh en 1971) :
Got my mind set on you (1987) :
When we was fab (1987) :
On finit avec un bel hommage à George Harrison, rendu un an après sa mort, lors du « Concert for George » où tous ses amis sont venus sur scène interpréter ses plus grands titres. Ici, While My Guitar Gently Weeps, avec Paul McCartney et Ringo Starr, mais aussi son ami Eric Clapton et son fils, Dhani Harrison.
Site officiel : http://www.georgeharrison.com/
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