Ce livre est peut-être le plus beau de ceux que je lirai en 2008. J’ai aimé l’humour et les sarcasmes doux-amers à chaque page. J’ai aimé Owen Meany, personnage tout petit à la voix de fausset, ses prédictions et sa foi personnelle, libre et critique. J’ai aimé la déception du narrateur, John Wheelwright, quand il découvre l’identité de son père biologique, et leur foi neuve à tous deux, grâce à Owen. Plus que de Dieu, ce livre parle de la foi et du courage, quel qu’en soit l’objet, qu’il faut pour croire dur comme fer en Dieu, en ses amis, ou en un monde meilleur, peu importe. Que les sept-cent et quelques pages du livre ne soient pas un obstacle ; elles se lisent (trop) vite et bien.
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